Hannut, Province de Liège, Wallonie, Belgique.

Voici la première partie d'une galerie photos consacrée à Hannut et les villages environnants.
Vous trouverez d'autres photos dans les pages ci-contres.

Avennes et Braives

La Chaussée romaine avant les fameux travaux et Petit Hallet

A l'extrémité du village, la chapelle qui date de 1755 se situe sur la route de Waremme, près d'un tumulus.  Elle enferme une dalle où repose un soldat de Napoléon.

Exemple de zone naturelle qu'il conviendrait d'aménager et de préserver dans le "désert brun" des champs mis à nu pour plus de productivité.

Diaporama :

L'album photo complet :  Hannut et la Hesbaye en photo  

Lien vers la Hesbaye vue du ciel : La Hesbaye vue du ciel (Hannut, Waremme et autres villages)

Voici une adresse super efficace pour dégoter de vieilles photos de Hannut et des villages avant fusion des communes : http://postcards.delcampe.net/list.php?language=F&searchString=hannut&searchMode=all&searchTldCountry=net&cat=-2&searchInDescription=N

 Château de Namur

 Paul's Himalayan Climb.

 Mary rose

 Souvenir de Louis Amade et Dentelle de Bruxelles

 Perdita

 ? Vos suggestions sont les bienvenues.

L'album avec toutes les roses du jardin: Histoire de roses

Autres articles consacrés aux roses :

Roses

http://jardindhannut.over-blog.com/article-jacqueline-dupre-un-rosier-envoutant-83194861.html

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Pour accueillir un maximum d'espèces vivantes, il faut varier les aménagements (soleil, ombre, zone de cailloux, herbe haute, tas de bois, terre cultivée, zone humide, ...). 

Rien de pire que la grande pelouse bien rasée bordée de quelques fleurs annuelles exotiques et d'une haie de laurier ! Voici en images quelques idées qui ne terniront pas votre jardin tout en proposant des zones d'accueil pour certaines espèces dont les biotopes se raréfient à la campagne.

Une bande de gazon n'est pas tondue (1 m de large) près de la haie de charme, des graminées s'y développent et acceuillent des criquets en été. La haie de charme attire les merles, mésanges et moineaux domestiques.

Un tas de branchages divers reste en permanence au fond du jardin caché par une haie de charme (marescent, le charme garde ses feuilles séchées en hiver). Le tas de bois attire les hérissons (gros mangeur de limaces !), un couple de troglodyte y a niché en mars, des lièvres des champs voisins s'y cachent... A l'arrière plan, le désert écologique issu de la culture extensive est bien visible (vert et plat !).

Une mare naturelle est en construction afin d'attirer libellules, tritons, grenouille et oiseaux assoiffés.

A l'entrée du terrain, j'aménage un coin sous-bois avec arbres et arbustes plus serrés, cette zone plantée attirera un grand nombre d'espèces grace à l'ombre créée et l'implantation de végétaux qui apprécie l'ombre et la fraicheur. Cet espace sera également utile à la maison, car tampon entre les champs nus et le pignon de la maison, il me protègera des vents dominants en hiver et donnera de l'ombre sur le mur en été.

Dernier "aménagement", le coin cailloux et gravats (qui s'est formé au fur et à mesure des transformations de la maison), recouvert d'une fine couche de terre, il accueille chaque année des fleurs et plantes des champs, qui attirent abeilles et papillons et toute une faune sauvage profite des blocs et caillasses comme abri en hiver.

Si les papillons se raréfient dans nos jardins, c'est que leur habitat n'offre plus suffisamment les plantes dont ils ont besoin : les plantes pour se nourrir mais aussi les plantes pour se reproduire !

Bienque les plantes mellifères soient utiles pour leur permettre de butiner et de se nourrir comme par exemple la lavande, le buddleia, la valériane ou d'autres ... leur reproduction dépend de plantes spécifiques qui leurs sont nécessaires au développement des larves; c'est la présence de ces plantes qui va permettre la ponte de la femelle. Il faut donc bien distinguer les plantes qui vont attirer les papillons dans votre jardin de celles indispensables à leur reproduction.

D'après le guide "Les papilllons d'Europe" de Chinery et Cuisin aux éditions Delachaux et Niestlé (très bonne maison d'édition à vous recommander), j'ai répertorié les plantes hôtes indispensables à la ponte des papillons présents en Belgique et dans la partie nord de la France :

Plantes : Ombellifères, alliaire, cardamine, cricifères, réséda, trèfle, bruyère, hélianthème, rumex, lupin, ajonc, serpolet, bec de grue, hippocrepsis comosa, primula veris, violette, plantain, ortie, houblon, chardon, dorycnium, reine des prés, sanguisorbe, melampyrum, digitale pourpre, veronica chamaedys, melanpyre, succisa pratensis, graminées, molina caerula, fétuque, lilaire, véronique, verbascum, poa.

Arbres et arbustes : prunellier, aubépine, rosacées, genêt, saule marsault, tremble, chevrefeuille, bouleau, ronce, framboisier, canneberge.

Essayons donc de leur laisser une place au jardin ou dans les prairies et pour plus de précisions sur la plante particulière nécessaire à une espèce précise, consultez le guide !

Fôret de Spa (versant Geronstère).

A l'Arboretum, n'oubliez-pas de refermer la barrière ...

 Tsuga.

 Géronstère.

La Höegne au Pont de Belheid.

Liens vers les anciens articles :

http://jardindhannut.over-blog.com/article-promenade-a-geronster-et-au-pont-de-belheid-87197392.html

http://jardindhannut.over-blog.com/article-promenade-a-geronster-et-au-pont-de-belheid-87197392.html

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